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Oh, le boulot ... Merci Mario.
Alors que la vente d'un logement peut nécessiter, selon les régions et le type de biens jusqu'à huit diagnostics, le bailleur doit en fournir au moins deux, parfois trois et les faire apparaître dans le « dossier de diagnostic technique ».
Le diagnostic plomb
Le constat de risque d’exposition au plomb (CREP) est le tout dernier né des diagnostics à fournir par le bailleur.
A partir du 12 août 2008, il devient obligatoire pour toute signature d’un nouveau bail d’un logement construit avant le 1er janvier 1949.
Et il s’applique aux locations libres régies par la loi du 6 juillet 1989, aux locations meublées, aux logements de fonction, aux locations des travailleurs saisonniers, aux locations saisonnières.
Ce constat doit être effectué par un professionnel certifié.
Il est valable un an.
Cependant si aucune trace de plomb ou si la présence de plomb ne dépasse pas certains seuils, le même constat peut être fourni à chaque nouveau contrat de location.
En cas d’absence de remise du CREP, le bailleur peut voir sa responsabilité engagée.
Le diagnostic de performance énergétique
Le diagnostic de performance énergétique,(DPE), dont le but est de donner au locataire un montant prévisible des dépenses liées aux consommations d’énergie doit être annexé au contrat de bail pour une nouvelle location ou lors du premier renouvellement.
Il est valable dix ans.
Il vise les locations à usage d’habitation principale ou à usage mixte professionnel et habitation principale, les locations saisonnières d’une durée de plus de 4 mois, les locations meublées, les logements de fonction, les logements loués aux travailleurs saisonniers, aux locations de logements pour étudiants.
Le DPE, même obligatoire depuis le 1er juillet 2007, reste seulement informatif.
Il doit toutefois être réalisé par un professionnel certifié.
L’état des risques naturels et technologiques
Ce diagnostic ne concerne pas tous les bailleurs mais seulement ceux dont les logements sont situés dans des zones à risque définies par le Code de l’Environnement.
Au titre de risque naturels s’entendent, par exemple, les inondations, les avalanches, les tremblements de terre…
Au titre des risques technologiques, les sites placés proches d’usines dangereuses type Seveso…
C’est au bailleur de se renseigner auprès de la mairie ou de la préfecture pour savoir si son logement est situé ou non dans une zone à risque.
Au cas où le logement est bel et bien situé dans une zone à risque, le bailleur doit fournir, à chaque nouveau locataire, un état datant de moins de 6 mois.
Contrairement aux autres diagnostics, celui-ci peut être réalisé par le bailleur.
Il lui suffit de remplir un formulaire à l’aide des informations communiquées par la mairie ou la préfecture.
Par ailleurs, si l’immeuble loué a déjà fait l’objet d’une indemnisation à la suite d’un sinistre lié à l’un des risques, le bailleur doit en informer le locataire par écrit.
Attention, en l’absence de ce diagnostic, le locataire peut demander une diminution du loyer ou annuler purement et simplement le bail.
Les dépenses à la charge du locataire
Certaines charges, engagées par le propriétaire, sont récupérables sur le locataire.
Elles sont pour l'instant définies par le décret 87-713 du 26 août 1987.
Ce dernier poste exige quelques précisions :
Lorsque le remplacement d'un équipement est moins coûteux que sa réparation, la dépense est à la charge des locataires.
Certains contrats d'entretien incluent le remplacement de pièces.
Dans ce cas, leur coût n'est pas totalement répercutable sur le locataire.
A la charge du locataireLe décret du 26 août 1987 est assez détaillé :
le locataire doit effectuer un certain nombre de travaux d'entretien et de réparation dans son logement et dans les parties extérieures dont il a éventuellement la jouissance exclusive.
Sont ainsi à sa charge :
Le locataire n'est pas tenu d'effectuer les réparations normalement à sa charge dans plusieurs cas :
A la charge du propriétaire A contrario, le propriétaire doit effectuer tous les travaux et réparations qui ne sont pas à la charge du locataire.
Exemples parmi d'autres :
Si le dommage est dû à un défaut d'entretien du locataire ou à une mauvaise utilisation des équipements, le propriétaire n'est pas légalement tenu de prendre la réparation ou le renouvellement à sa charge.
Quand le propriétaire ne fait pas face à ses obligations, le locataire peut demander au tribunal d'instance l'autorisation d'effectuer les travaux.
Les dépenses pourront alors être déduites des loyers à venir.
Les frais de remise en étatLes frais de remise en état à la fin du bail sont un sujet fréquent de contentieux entre locataires et propriétaires.
La loi est ici moins précise et c'est surtout une affaire de bon sens et d'usages, parfois sanctionnée par les tribunaux.
Les frais de remise en état sont à la charge du locataire s'il s'agit d'un manque d'entretien ou de dégradations particulières.
C'est souvent le cas lorsque la location est de courte durée et que le logement n'est pas rendu en bon état.
En revanche, on ne peut reprocher à un locataire les effets de la vétusté et l'usure normale des équipements et revêtements intérieurs.
Si la moquette ou les papiers peints sont tout simplement défraîchis, le propriétaire doit prendre à sa charge leur renouvellement.
S'ils sont à la fois défraîchis et dégradés, les frais peuvent être partagés avec le locataire
Cette Commission d'Attribution des Logements, dénommée aussi "C.A.L.", est composée de :
La "C.A.L." de La SOMCO est découpée en 3 Commissions représentant 3 zones géographiques.
Les 3 membres élus Administrateurs, représentants des Locataires y siègent comme suit :
Les bénéficiaires
Les personnes prioritaires
Sont considérées comme prioritaires :
Plafond de ressources
Les logements HLM sont réservés aux personnes dont les ressources n'excèdent pas un plafond qui varie en fonction
Ce plafond est révisé chaque année au 1er janvier en fonction de l'évolution du SMIC.
Ressources prises en compte
Le montant des ressources pris en considération est égal à
Le ménage demandant l'attribution d'un logement HLM est tenu d'apporter les justificatifs à l'organisme qui doit s'assurer par tout moyen, à l'exception d'attestations sur l'honneur, du montant des revenus déclarés.
Prise en compte de l'enfant de parents séparés
L'enfant d'un couple séparé est considéré comme vivant au foyer de l'un et l'autre de ses parents pour l'attribution d'un logement HLM.
Lorsque cet enfant travaille, ses revenus ne sont pris en considération qu'au titre du ménage au foyer duquel il est rattaché fiscalement.
Démarches
Le dépôt de la demande
Elle s'effectue soit :
Démarches
Organismes compétents pour recevoir les demandes de logement HLM
Sont habilités :
Contenu du dossier de demande de logement d'HLM
Toute demande d'attribution de logement HLM doit faire l'objet d'un enregistrement départemental dès qu'elle comprend les informations suivantes :
Examen des demandes
La commission d'attribution procède à l'examen des demandes en tenant compte notamment :
Attestation d'enregistrement de la demande
Une attestation est remise au demandeur de logement HLM par
qui a enregistré la demande même lorsque celle-ci fait l'objet d'un renouvellement ou d'une modification.
L'attestation comporte les indications suivantes :
Durée de validité de la demande
La demande de logement HLM est valable durant 1 an à compter de son enregistrement.
Un mois au moins avant sa date d'expiration, l'organisme, le service ou la personne morale qui a procédé à l'enregistrement de la demande, notifie au demandeur que le délai va expirer et qu'il doit renouveler sa demande avant l'expiration de ce délai.
Délai d'instruction de la demande
Le délai d'attente, calculé à partir de la première demande de logement dans le département, varie d'un département à l'autre.
Passé un délai anormalement long, le demandeur qui n'a pas reçu de proposition de logement peut saisir une commission de médiation instituée dans chaque département pour faire valoir son droit à un logement.
Décision d'attribution d'un logement
Si un logement HLM est attribué, le bénéficiaire reçoit une offre de logement qui doit contenir le délai de réponse dont il dispose.
Ce délai ne peut être inférieur à 10 jours.
Le défaut de réponse dans le délai fixé équivaut à un refus.
Radiation de la demande
Elle est opérée par
qui l'a enregistré.
Elle est notifiée au demandeur par écrit et ne peut intervenir que pour l'un des motifs suivants :
Coût de l'état des lieux
Si les parties réalise l'état des lieux à l'amiable, celui-ci n'entraîne aucun frais.
Seul l'état des lieux établi par un huissier occasionne des frais, frais qui ne peuvent dépasser un montant forfaitaire réglementé.
Lorsque l'une des parties seulement mandate un professionnel ou un huissier, alors que l'autre ne s'est pas opposé à l'établissement de l'état des lieux à l'amiable, les frais de l'état des lieux incombent en totalité à celui qui a mandaté le professionnel.
Merci de votre participation.
Nous vous donnerons la réponse dans les jours à venir.
Le Conseil d'Administration de la SOMCO, réuni le ………………………………. entend faire part de sa vive préoccupation face au projet de loi dit de "Mobilisation pour le logement et contre les exclusions" qui sera débattu prochainement à l'Assemblée Nationale.
Si cette loi devait être votée en l'état, elle aurait de graves conséquences, tant pour les organismes HLM, que pour les locataires dont la situation se dégrade dangereusement.
Cette préoccupation est d'autant plus vive que le projet s'inscrit dans un contexte de baisse du budget de l'Etat et par une forte sollicitation du 1% logement (argent des entreprises et de leurs salariés).
En effet, ce projet de loi :
Plusieurs dispositions de ce projet de loi vont dans ce sens :
- les locataires HLM dont les revenus seront au moins deux fois supérieurs aux plafonds de ressources auront trois ans pour quitter leur logement, sans avoir forcément les moyens d'accéder au parc locatif privé ;
- les locataires dont les revenus dépassent d'au moins 20% les plafonds de ressources devront payer un supplément de loyer de solidarité qu'un récent décret vient de renforcer, les incitant ainsi à quitter le parc social ;
- les locataires en sous occupation, qui refusent trois propositions de relogement, devront eux aussi partir. Quelles seront alors les conséquences familiales et sociales d'une telle mesure ?
- la remise en cause de l'article 55 de la loi SRU conduire à une baisse de l'offre locative sociale ;
- les locataires de bonne foi en difficulté pour régler leur loyer risqueront d'être expulsés plus facilement, le délai pendant lequel le juge peut suspendre une décision d'expulsion étant ramené de trois ans à un an ;
- le désengagement financier de l'Etat va laisser les bailleurs sociaux seuls face à des obligations de plus en plus nombreuses : loger les plus démunis, produire des logements neufs pour répondre à la demande croissante, réhabiliter le parc existant selon les normes définies par le Grenelle de l'Environnement, vendre aux locataires en place, acheter le stock du parc privé... En les privant ainsi de moyens, l'Etat ne permet plus aux bailleurs sociaux de jouer leur rôle de production et de développement de logements de qualité accessibles à tous.
En conséquence, le Conseil d'Administration de la SOMCO demande que les dispositions énoncées ci-dessus soient retirées du projet de loi et que l'Etat, seul garant du droit au logement, accorde aux bailleurs sociaux des moyens à la hauteur de cette ambition : la possibilité pour le plus grand nombre d'accéder à des logements de qualité et de pouvoir s'y maintenir, qui est le fondement même du logement social dans notre pays.
Motion présentée au C.A. par les représentants des locataires de La SOMCO :
· Mme Astrid BAEUMLIN, élue liste « Le Houblon » Lutterbach,
· Mr. Edmond SKUBISZEWSKI, élu liste C.L.C.V.,
· Mr. Jean-Louis OLIVIER, élu liste C.L.C.V.
Comme vous le savez certainement, le nouveau barème de calcul du Supplément de Loyer de Solidarité commence à être appliqué par les organismes HLM.
De nombreux locataires sont surpris par les sommes qui vont leur être réclamées.
Je vous signale également que l'Agence Nationale d'Information pour le Logement - l'ANIL a mis en place un outil de calcul du SLS que vous trouverez en cliquant sur le lien suivant : http://extra.anil.org/guide/calculs/sls/sls.htm
Le Supplément de Loyer Solidarité (SLS), c'est quoi ?
En cours de location, lorsque les ressources d’une famille viennent à excéder le plafond de ressources déterminé pour l’attribution d’un logement, la famille peut conserver son logement HLM, mais peut être amenée à verser un supplément de loyer au bailleur social.
Les conditions d’application du SLS viennent d’être renforcées dans le décret n°2008-825 du 21 août 2008.
Les organismes HLM doivent appliquer un barème national de SLS à tous les ménages dont les ressources dépassent d'au moins 20% (contre 60 % auparavant) les plafonds d'accès au logement social, sauf dans les zones urbaines sensibles (ZUS), dans les zones de revitalisation rurale (ZRR).
Le programme local de l’habitat (PLH) peut définir des zones dans lesquelles le SLS ne s’applique pas.
Depuis la loi Engagement National pour le Logement dite loi ENL, le barème national est obligatoire, un organisme d’HLM qui signe une convention globale de patrimoine peut cependant s’en affranchir et adopter le sien, à condition de respecter les orientations du PLH.
Le nouveau barème de surloyer prévoit une progressivité en fonction des revenus des ménages :
Comment est-il calculé ce SLS ? (art. R.441-20 du CCH)
Le montant mensuel du supplément de loyer solidarité est égal au produit de la surface habitable du logement par le coefficient de dépassement du plafond de ressources et par le supplément de loyer de référence mensuel par mètre carré habitable.
Ce qui donne la formule suivante :
SLS = surface habitable x coeff. dépassement plafond ressources x suppl. loyer de réf.
La surface habitable
C'est la surface de plancher construite, après déduction des surfaces occupées par les murs, cloisons, marches et cages d’escaliers, gaines, embrasures de portes et de fenêtres.
Le coefficient de dépassement du plafond de ressources
Il dépend de l’importance du dépassement du plafond de ressources et éventuellement du nombre et de l’âge des personnes vivant au foyer.
Le supplément de loyer de référence
Il est établi en fonction des données relatives au logement. Le critère retenu est celui de la qualité et de la localisation de l’immeuble ou du groupe d’immeubles. Il est exprimé en montant par mètre carré habitable.
Les locataires en HLM dont les revenus seraient deux fois supérieurs aux plafonds de ressources auraient trois ans pour quitter leur logement.
Ces mêmes plafonds seraient aussi diminués de 10%.
A cela, s’ajoute le décret renforçant le supplément de loyer de solidarité applicable aux locataires dépassant d’au moins 20% les plafonds de ressources.
Les locataires en sous-occupation sont aussi concernés : s’ils refusent trois propositions de relogement, ils devront eux aussi partir.
Si à première vue la mesure peut paraître de bon sens, dans la pratique un couple de jeunes retraités dont les enfants sont partis devraient quitter leur F5 pour un F3 ou F2 sans aucune garantie d’avoir un loyer au m2 similaire.
Quelles seront, par ailleurs, les conséquences familiales et sociales d’une telle mesure lorsque les parents et grands parents ne pourront plus recevoir dignement leur famille ?
Faire partir du logement social les locataires les plus solvables, ceux par qui un minimum de mixité économique et sociale existe encore ne résoudra pas la crise du logement, mais représente au contraire le risque de transformer les HLM en véritables ghettos pour pauvres relégués dans les quartiers périphériques des villes.
Ces dispositions ne répondent pas à la crise actuelle, car si les ménages se pressent vers les logements sociaux c’est que les loyers du privé sont devenus inabordables, or ici rien n’est fait pour accroître une offre de logements économiquement accessibles là où la demande est forte.
Ce texte facilite également les expulsions en réduisant à un an, au lieu de trois, le délai pendant lequel le juge de l’exécution peut suspendre une décision d’expulsion.
Cela précariserait des locataires de bonne foi et accroîtrait la file d’attente des ménages que l’on retrouvera prioritaires au relogement dans les commissions de médiation créées par la récente loi relative au droit au logement opposable !
Ainsi expulserait-on plus facilement pour s’obliger à reloger dès le lendemain !
Enfin, ce projet de loi prévoit l'assouplissement des règles définies à l'article 55 de la loi SRU en matière de mixité sociale (20 % de logements sociaux dans toutes les communes de plus de 3500 habitants) en intégrant dans la comptabilisation de ces logements, ceux qui seraient produits aux fins d'accession à la propriété sous condition de ressources.
A l'heure où de nombreuses communes (330 communes sur 730, soit 45%) n'ont pas respecté les objectifs de rattrapage fixés par les préfets, cette mesure serait contre-productive en matière de mixité sociale.
En effet, l'accession, même sociale, s'adresse à des ménages dont les revenus sont nettement plus élevés que ceux des demandeurs de logement locatif social.
Il s'agit là d'un "message" d'encouragement aux maires qui résistent aux dispositions de la loi SRU, ceci en totale contradiction avec la nécessaire solidarité territoriale face à une crise du logement sans précédent.
Pour toutes ces raisons, notre Groupe des administrateurs SOMCO a décidé de s'associer pour cette action à l'association Consommation, Logement et Cadre de Vie - C.L.C.V. (http://www.clcv.org/) en demandant que :
Cela est possible en prévoyant par exemple :
Des mesures pourraient ainsi renforcer l’offre de logements économiquement accessibles pour tous.
Voilà pourquoi, chers Locataires, nous vous invitons à signer et à faire signer autour de chez vous la pétition en ligne sur le site http://:cyberacteurs.orgNous tenons nos permanences, sans prise de rendez-vous, à Mulhouse, au 36, avenue Aristide Briand, dans notre local au rez-de-chaussée :
Nous comptons sur vous pour informer vos voisins, Locataires de La Somco.
Nous vous souhaitons, Madame, Mademoiselle et Monsieur une très Belle Journée.